[Build Green] Si la géobiologie n’est pas une discipline encore reconnue par le milieu scientifique cartésien, certains de ses aspects techniques méritent qu’on s’y attarde quelque peu, au regard des résultats et des constats réalisés dans le milieu de l’habitat.
Qu’est-ce que la géobiologie ?
La géobiologie est l’étude de l’ensemble des influences de l’environnement sur le vivant. Cette étude est plus ou moins globale suivant les thèmes et sensibilités de chacun. Elle pourra se limiter à l’environnement physique visible, au rationnellement mesurable, au conventionnellement acceptable pour d’autres. Pour ma part, j’ai eu la chance d’apprendre et de découvrir que la vision scientifique et analytique est souvent très réductrice et qu’une approche globale se doit d’être le plus ouverte possible pour être la plus complète et la plus riche possible. Partant de ce principe, on ne peut plus se limiter uniquement à ce qui est scientifiquement prouvé et il faut admettre que ce qui existe n’est pas forcément connu, ce qui est connu n’est pas obligatoirement démontré et enfin ce qui n’est pas démontré n’est pas systématiquement faux.
C’est à ce moment que la géobiologie devient géobiologie, elle n’est plus sectoriellement cantonnée à la lecture du paysage, l’urbanisme, l’architecture, la géologie, l’électricité, le relevé d’ondes électriques ou électromagnétiques quantifiables, mais elle prend sa dimension globale, embrassant toutes ces disciplines en y intégrant les dimensions plus sensibles du domaine du ressenti, aujourd’hui en partie admises, comme les réseaux telluriques, la détection des failles, des cours d’eau, voire d’autres dimensions encore plus subtiles.
La géobiologie, une pratique ancestrale
L’homme a toujours tenté de vivre en harmonie avec le milieu dans lequel il a choisi de s’implanter, apprenant à ressentir son environnement et l’utilisant pour canaliser son énergie, en témoignent les anciennes civilisations et les traces parvenues jusqu’à nous : la position des menhirs, des pyramides, mais aussi plus proche de nous, l’implantation des églises et des cathédrales.
Avec le déploiement de la science «moderne», l’invisible est devenu déraisonnable…, au mieux, en attente d’être démontré. Et on a oublié petit à petit d’apprendre à ressentir les phénomènes qui nous entourent. Pour autant ces énergies sont bien présentes et sont une source qui , bien utilisée, peut changer la vie.
Stonhenge
Une approche très analytique de la géobiologie
Une des premières approches est d’analyser le lieu sur un plan «physique», quantifiable, maîtrisable et mesurable. L’environnement qui est le nôtre est aujourd’hui influencé par un nombre important de pollutions créées de toutes pièces par l’homme… et donc mesurables par lui. Les réseaux basse et haute fréquences (les réseaux électriques et ondes de type wifi, gsm) ont sur notre corps une influence néfaste qui n’est plus à démontrer. Une exposition durable peut engendrer des troubles pour la santé. L’exercice consiste donc à quantifier la pollution existante dans les lieux où les personnes vont passer du temps.
Des appareils de mesure de champs électromagnétiques de basses et hautes fréquences vont permettre de définir le niveau d’exposition et d’envisager si une correction est nécessaire. Ces corrections pourront, soit être mises en œuvre immédiatement, soit nécessiter l’intervention d’un électricien.
Appareils de mesure
Une analyse globale plus sensitive
Au-delà de cette première approche très cartésienne, j’apporte une attention particulière aux phénomènes plus sensibles que sont notamment la présence de réseaux, leurs intersections et les points sensibles qu’ils peuvent engendrer, la présence de cours d’eaux, de failles, ou de tout élément sous-terrain susceptible d’être source de nuisance.
Autant la correction des éléments «physiques mesurables» se fait avec des outils physiques, autant l’éventuelle correction sur les réseaux pourra être effectuée avec diverses méthodes, tant physiques qu’énergétiques. Il est à privilégier, toutefois, dans la mesure du possible, des procédés qui correspondent à la fois au lieu et aux personnes qui les occupent, dans une évolution douce des énergies.
Enfin, le troisième niveau d’intervention se situe sur le plan purement énergétique par une approche sensible. Il va consister en une analyse du lieu sur le plan vibratoire, en y dégageant les points forts, les points faibles à ré-équilibrer, les mémoires à nettoyer. Les corrections sont soit immédiates, soit progressives. Il est tout à fait possible que cette phase nécessite plusieurs interventions, plusieurs passages. C’est souvent un travail de fond qui va utiliser des techniques diverses (reiki, feng shui, harmonisation par les pierres, soin énergétique de l’habitat, …). Il n’y a pas vraiment de règle et chaque lieu est unique, chaque travail est unique. Cette phase (comme la précédente) peut être réalisée à distance, contrairement à la première. Des plans et photos sont un bon support pour démarrer un travail énergétique.
Travail au pendule
Quand faut-il faire intervenir le géobiologue ?
Le travail du géobiologue est global et il intervient avec une vision d’ensemble. A ce titre faire un travail sur soi, un travail énergétique dans un lieu pollué ne permet pas toujours d’atteindre son potentiel maximum. Il est donc conseillé de faire ce travail de nettoyage des lieux le plus tôt possible, en amont : dès le choix du terrain lors d’une construction neuve, et avant même l’emménagement dans une maison ou un appartement dans les autres cas. Ce nettoyage est à mon sens nécessaire pour une cohabitation harmonieuse entre l’Homme et son lieu de vie.
Cependant, Le géobiologue intervient aussi (et même majoritairement !) suite à des désordres constatés, à un ressenti problématique. Une impression de mal-être, des soucis de santé, des problèmes chroniques, insomnies, angoisses, fatigue, dépression, hyperactivité, trouble du comportement,…
« Un esprit sain dans un corps sain »,… un corps sain dans un habitat sain !
Quels résultats attendre ?
Dans la pratique, les résultats sont mesurables pour la partie analytique (réseaux électriques, hautes et basses fréquences). L’intervention se doit d’apporter des solutions simples et mesurables immédiatement pour un coût le plus modique possible. Les solutions mises en œuvre relèvent parfois simplement du bon sens et de l’adaptation à l’environnement proche.
Pour les autres interventions, les sensations peuvent être ressenties très rapidement, parfois dès les premières heures.
Les outils de la géobiologie
Pour des problèmes techniques, des outils techniques de mesure sont nécessaires et des solutions techniques sont apportées.
Pour les approches plus sensitives, toutes les approches sensibles sont possibles (pendules, baguettes, ressenti,…). Contrairement à la phase analytique, je n’ai pas de protocole ou de systématisme établi et me laisse simplement guider par les lieux.
Mise au propre d’une partie de relevé géobiologique
Comment se passe une expertise ?
Suivant votre sensibilité, je suis à même de réaliser pour vous tout ou partie des missions décrites ci-dessus. La phase d’analyse des influences électro magnétiques doit se faire in situ (à votre domicile). Nous convenons ensemble d’un rendez-vous et j’essaye au maximum de vous faire participer à cette expertise afin que vous compreniez les enjeux, les problématiques et les solutions mises ou à mettre en œuvre.
Pour la partie sensible de l’analyse, elle peut au choix être envisagée sur place ou à distance. Une présence sur place permet d’appréhender certains points de manière plus précise et ciblée alors qu’une intervention à distance aura un recul accru par rapport au site. J’essaye, dans la mesure du possible, d’associer les deux approches… sauf lorsque l’éloignement ne me permet pas de me rendre sur place !